Besoin d'un Avocat à Nice ?

Contactez Nous !

+33 (0)4 92 15 05 05

Tel : 04.92.15.05.05

Adresse (Fr) : 4 Rue du Docteur Barety – 06000 Nice

Adresse (Lux) : 270 Route d’Esch – L-1470 Luxembourg

Actualité brulante ! Le Scandale des titres restaurant. Restaurateurs, demandez indemnisation. Cliquez pour en savoir plus

Temps de lecture estimé (en minutes)

Publication de la deuxième loi de finances rectificative pour 2012 Parts de GFA, terres louées en métayage, et biens professionnels

Imposition des gains en capital des non-résidents

Des décisions récentes ont apporté des éclaircissements sur la fiscalité des plus-values ​​immobilières détenues par des personnes physiques non-résidentes de l’Union européenne (UE) et de l’ Espace économique européen (EEE). L’administration fiscale a été encline à imposer le taux d’imposition le plus élevé de 33,1/3 % à ces personnes. Cependant, de nombreux pays ont conclu des conventions fiscales bilatérales avec la France, qui incluent des clauses de non-discrimination. Ces clauses permettent aux contribuables étrangers propriétaires d’un bien immobilier en France d’être imposés au taux plus avantageux de 19% selon la jurisprudence.

Explorez les implications et les solutions potentielles découlant des développements récents en matière d’imposition des plus-values ​​immobilières des non-résidents. Découvrez comment l’interprétation des clauses de non-discrimination dans les conventions fiscales bilatérales pourrait conduire à des litiges et à la recherche de taux d’imposition plus favorables pour les contribuables étrangers. Restez informé de l’évolution du paysage juridique entourant l’imposition des gains en capital des non-résidents.

Conflits potentiels et implications

L’interprétation de la clause de non-discrimination peut s’étendre au-delà des ressortissants de l’UE et de l’EEE pour inclure des personnes originaires de pays extérieurs à ces régions qui n’y résident pas. Cela pourrait potentiellement donner lieu à de nombreux litiges à l’avenir concernant le traitement fiscal des gains en capital des non-résidents. Alors que les contribuables de divers pays explorent leurs droits et contestent le taux d’imposition plus élevé, on s’attend à ce que la question fasse l’objet d’un examen juridique plus approfondi et de résolutions potentielles.

Conclusion:

Les évolutions récentes en matière d’imposition des plus-values ​​immobilières détenues par des personnes physiques non-résidentes de l’UE et de l’EEE ont révélé la propension de l’administration fiscale à imposer le taux d’imposition le plus élevé. Cependant, les conventions fiscales bilatérales et les clauses de non-discrimination offrent la possibilité aux contribuables étrangers d’être imposés à un taux plus favorable. Cette interprétation de la clause de non-discrimination pourrait potentiellement s’appliquer aux particuliers de pays hors UE et EEE, entraînant une augmentation anticipée des litiges liés à l’imposition des plus-values ​​des non-résidents. Au fur et à mesure que ces problèmes se déroulent, il est crucial de surveiller les développements juridiques ultérieurs et les résolutions potentielles dans ce domaine. 

Société d’Avocats DAMY